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Message par Admin-S Kamel Mer 16 Avr - 15:34

Le problème de support surgit à chaque fois qu'on veut préparer nos leçons, alors, j'ai pensé vous apporter dans ce merveilleux forum un support qui m'a beaucoup aidé et que j'ai trouvé dans un autre site qui a malheureusement fermé !



Boite à textes
L’HOMME INCONNU (Adj. qualificatif)

L’homme entra par la grande porte. Il portait une veste noire et un pantalon de toile blanche. Ses petites lunettes rondes et son regard glacé inspiraient le respect. Ses cheveux d’une belle couleur grise indiquaient qu’il n’était plus tout jeune. Mais sa démarche assurée et ses gestes déterminés rappelaient qu’il avait été, autrefois, un sportif de haut niveau.
Albert CAMUS

REPAS DE FAMILLE (Présent des vbes du 2e groupe)

Tous les soirs, la famille accomplit la même cérémonie. Impossible d’y échapper. Si nous désobéissons, nos parents nous punissent. Nous devons manger la soupe de maman. Mon père nous dit souvent :
-« Vous n’aimez pas la soupe, mais elle est nécessaire. C’est grâce à elle que nous grandissons ! »
Mon frère me jette alors un regard désolé. Notre père ne mesure qu’un mètre soixante.
Marcel PAGNOL « La gloire de mon père »

LA PAIX DES ANIMAUX (L'imparfait/Plus-que-parfait)
Il y’a très longtemps, les animaux avaient décidé de faire la paix. Le lion ne mangeait plus les gazelles. Les oiseaux ne mangeaient plus les papillons. Les souris cuisinaient des gâteaux aux chats et le lièvre donnait des leçons à son ami le serpent. C’était la paix.
Adapté d’Esope

JE SUIS MALADE (Le passé composé)
Le docteur est venu ce matin. Quand il est entré dans ma chambre, j’ai pleuré. Mais je le connais bien le docteur ; il est très gentil. Il a mis sa tête sur ma poitrine et comme il est chauve, j’ai vu son crâne qui brille juste sous mon nez. Le docteur n’est pas resté longtemps. Il a dit à maman : « Il faut qu’il reste au lit. Qu’il se repose ! » et il est parti.
Sempé et Goscinny « Le petit Nicolas »

NAISSANCE D’UNE FLEUR (Adj. possessif & Adj. démonstratif)
Cette fleur là n’en finissait pas de se préparer à être belle. Dans sa chambre verte, elle choisissait avec soins ses couleurs. Ce jaune est trop terne, ce bleu est trop froid…Elle ajustait un à un ses pétales. Elle ne voulait sortir que dans le plein rayonnement de sa beauté. Sa toilette mystérieuse durait des jours et des jours. Et voici que ce matin, au lever du soleil, elle s’est montrée.
Antoine de SaintExupery « Le petit prince »

LE PROGRES (Verbes et expressions d'opinion)
Certains pensent que le progrès nous facilite la vie. Ils croient qu'il nous permet de mieux profiter des loisirs. D'autres estiment que le progrès dégrade les relations humaines. Selon d'autres encore, le progrès est un mal nécessaire.



GAVROCHE (La comparaison)
Gavroche ressemblait beaucoup à ces enfants orphelins qui vivaient dans la rue. Il marchait tels des aveugles. Il était souvent vêtu d'habits d'hommes et avait l'air d'un vieillard. Il avait besoin de tendresse. Sa mère le traitait comme un étranger : son cœur, disait-il, est aussi dur qu'un pavé. Malgré tout, il était agile comme un chat, gai comme un poisson dans l'eau.
«Les Misérables», Adapté

LE CHAMP LEXICAL (L’arbre)
L'arbre est un être vivant, généralement ombrageux et fruitier. Il respire et se nourrit comme nous. Il est très important. En effet, on cueille ses fruits, il fixe le sol avec ses racines, Ses feuilles nous donne de l'oxygène et de l'ombre. Ses branches et son tronc produisent du bois.
Adapté

LE FUTUR SIMPLE ET ANTERIEUR (La Terre en 2025)
Quand l’an 2025 sera arrivé, on dépassera les huit milliards sur Terre. Je crois qu’on va manquer de nourriture. On souffrira parce qu’on aura tout pollué : l’air, les terres et les mers. On ne verra plus certaines espèces animales parce qu’elles auront disparu à cause de la chasse et de la pêche. Mais si on est sage, on évitera cet enfer.
L’auteur
L’ACCIDENT (Les types de phrases)
C’EST LA RENTREE (Le présent de l’indicatif)
PROMENADE EN FORET (les trois époques)
LES LIVRES (le pluriel des noms en ou)
LES DEUX PETITES CABANES (Les indicateurs d'espace)
A LA RECHERCHE D’UNE RUE (Les indicateurs d'espace)………………………………………….
EN RETARD (les trois époques)
LE PETIT LION (Présent de l'indicatif & Accord sujet verbe)
L’HOMME INCONNU (Adj. qualificatif)
REPAS DE FAMILLE (Présent des vbes du 2e groupe)
LA PAIX DES ANIMAUX (L'imparfait/Plus-que-parfait)
JE SUIS MALADE (Le passé composé)
NAISSANCE D’UNE FLEUR (Adj. possessif & Adj. démonstratif)
JE SUIS MALADE (Le passé composé)…………………………………………………………………
CAMION EN FEU (L'impératif)
LE VILLAGE (Ce & Se) (Ces & Ses)
LE CARNAVAL (la P. S. R) (on & ont)
LA PIE (le GP Comp de Nom& GP Comp de phrase)
LE RÉGIME DE BANANES (Temps simples/Temps composés)………………………………………
LE HÉRISSON (Propositions coordonnées, Phrase complexe, Phrase simple)
LE SANGLIER (Le G. N sujet/G. N complément)
LE POSTE DE RATUS (la relative par qui)
RECETTE (Impératif présent)
UN ENFANT HEUREUX (L'interrogation directe/question fermée)
LA GRANDE BETE NOIRE (L'accord du participe passé avec le C. O. D)…………………………...
MAÏA L'ABEILLE (La conjugaison pronominale)
CONSEILS A UN SPORTIF (Le subjonctif présent)
LES VOYAGES DE GULLIVER (Le passé simple; l’expression de but l'infinitif…
LE PETIT PRINCE (Le conditionnel présent)
LES OURS (le présent de l'indicatif)
CHER COUSIN (lettre familiale)……………………………
UN POISSON FABULEUX (imparfait:passé simple)
MADAME IRMA (le futur simple)
LA PÊCHE. (Se ce)
DERNIÈRE NUIT AVANT LE DÉPART. (Le conditionnel présent)
LE MARCHÉ À BESTIAUX (les verbes en cer et ger)
DU CÔTÉ DE LA MER……………………………………………………………………………………


COSETTE DANS LA NUIT (Senstiments et sensations.)
LES AVENTURES D'ARTHUR GORDON (La voie passive)
VENEZ BOIRE LE CAFE (Dictée préparée;la transformation passive)
L'ORAGE (exp. du temps/P. simple&Imparfait)
VACANCES(Imparfait/Plus-que-parfait)………………………………………………………………
RECETTE DE LA TARTE AUX POMMES (L'infinitif, L'impératif, Les déterminants
LA BALEINE BLEUE (Le G. N+Le GV/ Le G. N/Le nom/L'adjectif)
LE KON-TIKI (le passé simple/Imparfait)
LES CHASSEURS DE LA TRIBU. (le passé simple/L'imparfait)
SOIREES D'ETE (Le plus-que-parfait)
LES MATINS DE PARIS (La proposition incise, Le présent de l'indicatif)……………………………
L'HOMME BISON(Le passé simple)
CONTRE LA PEINE DE MORT (ARGUMENTATIF)
FANATISME(Argumenter)
ARGUMENTER
L’ESCLAVAGE (Argumenter)
DE L’ESCLAVAGE DES NÈGRES
A L'AEROPORT
LES CONSTANTINOIS TRES FEBRILES
L'EPAULARD
LE SAVON
UN DUR APPRENTISSAGE
LÉONARD DE VINCI, LE VISIONNAIRE!
L'ANALPHABÉTISME MONDIAL
L’ORDINATEUR (Les composants d’un appareil)
LA FABLE DES PORCS-ÉPICS (Fable)
TEXTES ILLUSTRATIFS:
L’ACCIDENT (Les types de phrases)

Renversé par une voiture, je suis tombé sur la chaussée. Une opération a permis au docteur de consolider l’os de ma jambe. Je suis resté six mois à l’hôpital. Ma mère en venant me rendre visite me demandait chaque fois :
- tu as mal ?
-Qu’est-ce je peux faire ?
Parfois elle me recommandait :
-Reste au lit.
-Ne te lève pas sans raison.
A ma guérison, je suis sorti de l’hôpital sur mes jambes. Quel bonheur de remarcher !


C’EST LA RENTREE (Le présent de l’indicatif)

Aujourd’hui, c’est la rentrée ; c’est le premier jour d’école. Yasmine et Dalila sont dans la même classe. Yasmine a préparé son cartable depuis longtemps. Dalila regarde encore une fois si son livre, son cahier, sont en place. Elles sont prêtes !En route.

PROMENADE EN FORET (les trois époques)

La semaine dernière, nous sommes allés en promenade en forêt. Au retour, j’ai commencé à avoir mal au ventre. Le soir, en allant me coucher, ma mère m’a fait boire une tisane…
Aujourd’hui, je suis à l’hôpital. Les docteurs disent que j’ai mangé quelque chose qui m’a donné une intoxication. Maintenant, je sais. Je jure, à l’avenir, que je ne mangerai plus de myrtilles sauvages.

LES LIVRES (le pluriel des noms en ou)

Il y’a des livres sur tout les sujets possibles. Sur les animaux, les oiseaux, les poissons, les arbres et les fleurs. Celui que j’ai sur les genoux traite de cailloux. De tous les cailloux qui existent. Ce mot rappelle souvent des pierres ordinaires. Mais il existe des pierres rares et merveilleuses dont on fait des bijoux comme les diamants, les émeraudes et les rubis.

LES DEUX PETITES CABANES (Les indicateurs d'espace)

Sur le côté oriental de la montagne qui est situé derrière le port Louis de L’ILE DE FRANCE, on voit, dans un terrain jadis cultivé, les ruines de deux petites cabanes. Elles s’élèvent presque au milieu d’un bassin formé par de grands rochers, qui n’a qu’une seule ouverture tournée au nord. On aperçoit à gauche la montagne appelée la morne découverte.

A LA RECHERCHE D’UNE RUE (Les indicateurs d'espace)

Je suis un peu perdu dans cette grande ville. je cherche la rue Tripoli.
-Pouvez me l’indiquer Monsieur l’Agent ?
-Vous êtes à trente minutes de marche d’ici. Il vaut mieux prendre le bus puisque vous avez des bagages.
-Il y’a un arrêt non loin d’ici. Vous tournez à gauche puis vous remontez la rue jusqu'au passage clouté, vous traversez là, et au deuxième tournant à droite vous verrez les bus.
-Merci ! Monsieur l’Agent.

EN RETARD (les trois époques)

J’ouvre un œil et j’aperçois le réveil aujourd’hui, silencieux.
Huit heures !mon Dieu !je suis en retard. Je me lève très vite, je fais hâtivement ma toilette et je pars en courant à l’école. Je pense à ce que dira le maître. D’habitude dès sept heures je saute du lit, je révise mes leçons. Voilà une journée qui commence mal…

LE PETIT LION (Présent de l'indicatif & Accord sujet verbe)

Le petit lion attend sa mère, mais elle ne vient pas. Il a peur et il pleure. Le sanglier Mamba et son amie la girafe passent par là. Elle lui dit : « Ne pleure pas petit lion ».
La girafe a un long cou, il est immense. Elle regarde au loin, à gauche, à droite, et voit enfin, la maman lionne qui arrive en courant.

L’HOMME INCONNU (Adj. qualificatif)

L’homme entra par la grande porte. Il portait une veste noire et un pantalon de toile blanche. Ses petites lunettes rondes et son regard glacé inspiraient le respect. Ses cheveux d’une belle couleur grise indiquaient qu’il n’était plus tout jeune. Mais sa démarche assurée et ses gestes déterminés rappelaient qu’il avait été, autrefois, un sportif de haut niveau.
Albert CAMUS

REPAS DE FAMILLE (Présent des verbes du 2e groupe)

Tous les soirs, la famille accomplit la même cérémonie. Impossible d’y échapper. Si nous désobéissons, nos parents nous punissent. Nous devons manger la soupe de maman. Mon père nous dit souvent :
-« Vous n’aimez pas la soupe, mais elle est nécessaire. C’est grâce à elle que nous grandissons ! »
Mon frère me jette alors un regard désolé . Notre père ne mesure qu’un mètre soixante.
Marcel PAGNOL « La gloire de mon père »

LA PAIX DES ANIMAUX (L'imparfait/Plus-que-parfait)
Il y’a très longtemps, les animaux avaient décidé de faire la paix. Le lion ne mangeait plus les gazelles. les oiseaux ne mangeait plus les papillons. Les souris cuisinaient des gâteaux au chat et le lièvre donnait des leçons a son ami le serpent. C’était la paix.
Adapté d’Esope

JE SUIS MALADE (Le passé composé)
Le docteur est venu ce matin. Quand il est entré dans ma chambre, j’ai pleuré. Mais je le connais bien le docteur ; il est très gentil. Il a mis sa tête sur ma poitrine et comme il est chauve, j’ai vu son crâne qui brille juste sous mon nez. Le docteur n’est pas resté longtemps. Il a dit à maman : « Il faut qu’il reste au lit. Qu’il se repose ! » et il est parti.
Sempé et Goscinny « Le petit Nicolas »

NAISSANCE D’UNE FLEUR (Adj. possessif & Adj. démonstratif)
Cette fleur là n’en finissait pas de se préparer à être belle. Dans sa chambre verte, elle choisissait avec soins ses couleurs. Ce jaune est trop terne, ce bleu est trop froid…Elle ajustait un à un ses pétales. Elle ne voulait sortir que dans le plein rayonnement de sa beauté. Sa toilette mystérieuse durait des jours et des jours. Et voici que ce matin, au lever du soleil, elle s’est montrée.
Antoine de SaintExupery « Le petit prince »

CAMION EN FEU (L'impératif)
« Arrête !Arrête !Le feu, il y’a le feu ! »
D’un seul coup le chauffeur comprend…
« Décroche l’extincteur, ordonne Callas en sautant à terre. Vite, Bon Dieu, vite ! »
-Donne ça !
-Je vais téléphoner aux pompiers.
-Non, reste là. Prends le volant et mets le camion au travers de la route. Il faut bloquer la circulation. Fais ce que je te dis.
Auguste Lebreton

LE VILLAGE (Ce & Se) (Ces & Ses)
L'homme connaissait bien ce village. Il y passait toutes ses vacances, depuis son enfance. Il connaissait ces jeunes filles qui remontaient la côte en portant sur leurs épaules des jarres pleines d'olives, ces enfants qui disputaient une partie de billes sous le grand chêne étaient ses enfants et ce vieil homme qui regardait au loin en se rappelant les jours passés dans la lointaine France, avait l'âge de son père. Tous ces gens représentaient tant pour lui.

LE CARNAVAL (la P. S. R) (on & ont)
Le jour, que tout le monde attendait est arrivé. Tous sont descendus dans la rue. Les femmes, qui sont restées devant leurs fourneaux toute l'année, ont dansé toute la nuit. on entendait la musique dans tout le village. Les hommes ont poussé d'énormes chars chargés de fleurs que les jeunes du village avaient mis des mois à préparer. Jamais on avait fait autant la fête.
Ismaël KADARE

LA PIE (le GP Comp de Nom& GP Comp de phrase)
La pie est un oiseau très répandu. On la reconnaît à sa longue queue et à son plumage noir et blanc.
Elle habite les champs et les collines pourvu qu'il y ait quelques arbres. Souvent elle fabrique un faux nid qui se voit bien mais dont elle ne s'en sert pas, puis elle construit le vrai nid bien caché pour y pondre ses œufs.
La pie aime tout ce qui brille. On a retrouvé dans un seul nid 12 paires de lunettes et 3 paires de ciseaux !
On peut facilement apprivoiser une pie.
La pie se nourrit d'insectes, d'escargots et de limaces, de vers, de souris, d'œufs mais aussi de graines et de fruits.
Encyclopédie ENCARTA

LE RÉGIME DE BANANES (Temps simples/Temps composés)
Un jour, Nicolas visitait le zoo.
Il avait apporté un régime de bananes pour les singes, et des graines pour les pigeons.
Un garde se dirigea vers Nicolas:
-"C'est défendu de donner à manger aux animaux!"
Nicolas rougit et dit alors un mensonge:
-Mais tout est pour moi, pour mon goûter.
Et comme le garde ne s'en allait pas, Nicolas a été obligé de tout manger, même les graines!

Sempé et Goscinny « Le petit Nicolas »

LE HÉRISSON (Propositions coordonnées, Phrase complexe, Phrase simple)
En France, on trouve beaucoup de hérissons. Ils vivent dans les bois et les jardins.
Le jour, le hérisson se cache sous un tas de feuilles pour dormir. Quand la nuit arrive, il sort de sa cachette pour chercher de la nourriture.
Il mange des insectes, des vers, des escargots, , des oeufs d'oiseaux et même des serpents.
Il a quatre pattes. Son dos est recouvert de piquants. Quand il est attaqué, il se met en boule pour se protéger.
Sa tête ressemble à celle d'un petit chien: il a un museau allongé et des dents très pointues. Souvent, il a même des puces.

LE SANGLIER (Le G. N sujet/G. N complément)
Le sanglier est une sorte de cochon sauvage et poilu. Il se cache dans les forêts épaisses et on le rencontre assez souvent dans notre région.
Le jour, il se cache dans les buissons et ne sort que la nuit pour chercher sa nourriture: des fruits, des racines, de l'herbe, des vers, des insectes. Il mange de tout. Parfois il va dans les champs pour voler des pommes de terre ou du blé. On dit qu'il adore chasser les serpents.
Le sanglier est très fort et pèse souvent plus de cent kilos.
On le chasse pour sa chair qui est délicieuse et pour ne pas qu'il ravage les champs près des forêts.

LE POSTE DE RATUS (la relative par qui)
Ratus fait la sieste dans son jardin. Tout à coup, il entend un piano et un violon.
- C'est dans la maison de Belo, se dit Ratus.
Vite, il prend son échelle. Il passe par-dessus le mur et court vers la fenêtre du salon.
Il voit Marou qui joue du violon et Mina qui joue du piano.
- C'est très joli ! dit Ratus. Et c'est bien joué ! Vous êtes très forts.
Ratus écoute avec plaisir. Mais tout à coup, le rat vert voit son gros poste de radio sur le piano. Il comprend tout !
Ratus entre par la fenêtre. Il va vers le piano, prend son poste et coupe le son. Tout s'arrête : on n'entend plus rien.
C'est le poste de Ratus qui jouait !

RECETTE (Impératif présent)
Prépare une pâte légère avec de la farine, de l'eau, deux œufs, et du beurre.
Etends cette pâte et garnis la avec des pommes coupées en fines lamelles. Fait cuire la tarte dans un four pendant 25 minutes;puis étale sur les oranges un peu de confiture d'abricot. Sers la tarte encore chaude.

UN ENFANT HEUREUX (L'interrogation directe/question fermée)
Je suis né en février 1912 à Tizi-Hibel, village de Grande Kabylie. Je m'appelle Mouloud FERAOUN, mais chez moi, tout le monde m'appelle Fouroulou. Ce prénom , inconnu jusqu'alors, je le dois à ma grand-mère qui voulait me protéger du mauvais œil.
Mouloud FERAOUN

LA GRANDE BETE NOIRE (L'accord du participe passé avec le C. O. D)
Mais il y' a d'abord eu Maco l'ancien. Son propre arrière-grand-père l'avait vue et lui avait raconté comment, lors de son quatrième passage, il lui avait tendu un piége…Pendant des années, il l'avait attendue, puis elle est venue. Cette fois –là il en avait entendu parler bien avant:la rumeur des désastres qu'elle avait commis dans les campagnes l'avait pour une fois précédée.
Edgar Alan POE

MAÏA L'ABEILLE (La conjugaison pronominale)
Maïa volait entre les ronces qui portaient encore des fleurs, lorsque, tout à coup, quelque chose se posa sur sa tête et sur ses épaules. Ses ailes se trouvèrent paralysées. Et pourtant, Maîa ne tomba pas. Elle poussa un cri d'effroi quand elle s'aperçut qu'elle était dans une toile d'araignée. Elle criait, elle appelait secours, mais elle se prenait au piège de plus en plus.


CONSEILS A UN SPORTIF (Le subjonctif présent)
Pour un sportif, le premier point important consiste à avoir une bonne santé. Il faut qu'il fasse attention à ce qu'il mange et à ce qu'il boit. Il faut qu'il surveille constamment son équilibre alimentaire. Chaque jour, il faut qu'il ait sa ration de fer et de vitamines et autres oligo-éléments. Mais pardessus tout, il est nécessaire que le sportif s'entraine régulièrement pour qu'il soit au mieux de sa forme. Sinon, le jour de la compétition, c'est la catastrophe.
Science &Vie


LES VOYAGES DE GULLIVER (Le passé simple;l'expression de but l'infinitif après une préposition et un verbe conjugué)
Comme convenu, j'obéis aux ordres de la fillette. Je devais aller et venir pour faire plaisir aux enfants, m'étendre à terre et me relever, galoper à cheval sur une brindille pour que se déclenchent les rires et les applaudissements, j'ôtais mon habit pour le remettre aussitôt. Je souhaitai la bienvenue aux hommes et je m'inclinai devant les dames. Tout ça pour récolter quelques sous. Je fus montré douze fois ce jour là et je dus recommencer autant de fois les mêmes sottises.
De Jonathan SWIFT “les voyages de Gulliver"

LE PETIT PRINCE (Le conditionnel présent)
Sa fleur lui avait raconté qu'elle était la seule de son espèce dans l'univers. Et voici qu'il en était cinq mille, toutes semblables, dans un seul jardin! "elle serait bien vexée, se dit-il, si elle voyait ça…elle tousserait énormément et ferait semblant de mourir pour échapper au ridicule. et je serais bien obligé de faire semblant de la soigner, car, sinon, pour m'humilier moi aussi, elle se laisserait vraiment mourir…"
Antoine De St EXUPERY « Le petit Prince »

LES OURS (le présent de l'indicatif)
L'ours brun est un gros animal qui vit dans les forêts. Il pèse parfois près de 350 kilos.
Il mange de tout: des fruits, des racines, des champignons, des insectes, de la viande, du poisson, du miel, des escargots et des limaces, des oiseaux, des oeufs.
En hiver il préfère dormir à l'abri dans sa cachette. Il n'en ressort qu'au printemps. La mère élève ses petits jusqu'à l'âge de deux ans. Les ours adultes vivent seuls.
Il en reste si peu en France que la chasse à l'ours est interdite. C'est un animal protégé.
Au pôle nord il y a des ours blancs. L'ours blanc se nourrit de poissons et de phoques. Il est plus grand que les ours bruns. Science & Vie Junior


CHER COUSIN (lettre familiale)
Je t'écris cette lettre pour te dire qu'ici toute la famille se porte bien espérant qu'il en est de même pour vous. Je voudrais te parler de nos prochaines vacances. Je pense que nous pourrions les passer ensemble en bord de mer;mais un problème, que je ne peux résoudre seul, se pose. Comment y aller?
J'en ai déjà parlé à mes parents, malheureusement, ils ont beaucoup de travail.
Bien le bonjour à toute la famille, surtout à ta petite sœur Farroudja. J'attend ta réponse
Cousin Abdellah

UN POISSON FABULEUX (imparfait: passé simple)
Lentement, régulièrement, la ligne montait;soudain , la mer se souleva en avant de la barque et le poisson apparut. Il n'en finissait pas de sortir;l'eau ruisselait le long de ses flancs;il étincelait dans la lumière;sa tête et son dos étaient violet foncé, il avait un nez très long et pointu, aussi long qu'une batte de base-ball. Le poison sortit de l'eau tout entier , puis avec l'aisance d'un bon nageur replongea très vite.
E. HEMINGWAY (Le vieil homme et la mer)

Madame IRMA (le futur simple)
David entra. Au centre de la pièce, il aperçut une petite table sur laquelle était posée une énorme boule de crystal transparent. Une femme s'avança, posa ses mains sur la boule et dit:"Bientôt tous vos ennuis s'envoleront. Vous retrouverez la joie et le bonheur. Vous gagnerez beaucoup d'argent. Une femme surgira dans votre vie, vous vous marierez et vous vivrez longtemps heureux. "
A. LEBRETON
La pêche. (SE CE)
Soudain, un gros brochet apparaît et se jette sur l'appât avec voracité. La ligne file et décrit une courbe inquiétante mais je riposte par un coup brutal pour accrocher ce poisson. A l'aide du moulinet, j’arrive à le fatiguer, laissant glisser quelques mètres de fil entre mes doigts, en reprenant, en relâchant un peu. Le brochet se débat, exécutant des bonds hors de l'eau. Mais, après vingt minutes de lutte, les convulsions s’espacent et il se met sur le dos. Je l'attire près du bord, je mets l'épuisette dans l'eau et je sors ce roi de la rivière.

Dernière nuit avant le départ. (Le Conditionnel présent)
Il fut décidé qu’on lèverait le camp au lever du jour et qu’on irait continuer les recherches dans la vallée voisine. Le dîner expédié, chacun alla se coucher, sauf James qui devait rester près du feu. Annibal le rejoignit.
«Je ne puis trouver le sommeil, j’ai pensé que je serais mieux avec vous.
-«Quelques heures de sommeil ne me déplairaient pas ; si vous vouliez, nous pourrions échanger nos rôles : j’irais m’allonger et vous garderiez ma place ici !
-«Non, restez, je voudrais vous parler.»
D’après Jules Verne.
Le marché à bestiaux (Les verbes en CER et GER)
Le pré commençait à se remplir, le temps était pluvieux et les ménagères s’avançaient avec leurs grands parapluies. Souvent elles dérangeaient les éleveurs qui rangeaient leurs bêtes le long d’une longue corde. Les porcs assoupis enfonçaient leur groin en terre. Les vaches s’allongeaient et ruminaient, le ventre sur le gazon. Un étalon hennissait en tendant la tête tant qu’il pouvait vers les juments. Un taureau noir ne bougeait pas plus qu’une statue de bronze. « Ne t’en va pas! Il est temps de commencer.» s’écria Jean quand il aperçut son ami.
D’après Gustave Flaubert.

DU COTE DE LA MER (La description dynamique.)
Bien loin dans la mer, l’eau est bleue comme les feuilles des bleuets, pure comme le verre le plus transparent, mais si profonde qu’il serait inutile d’y jeter l’ancre, et qu’il faudrait y entasser une quantité infinie de tours d’église les unes sur les autres pour mesurer la distance du fond à la surface. C’est là que demeure le peuple de la mer. Mais n’allez pas croire que ce fond se compose seulement de sable blanc ; non, il y croît des plantes et des arbres bizarres, et si souples que le moindre mouvement de l’eau les fait s’agiter comme s’ils étaient vivants. Tous les poissons, grands et petits, vont et viennent entre les branches comme les oiseaux dans l’air. À l’endroit le plus profond se trouve le château du roi de la mer, dont les murs sont de corail, les fenêtres de bel ambre jaune, et le toit de coquillages qui s’ouvrent et se ferment pour recevoir l’eau ou pour la rejeter. Chacun de ces coquillages renferme des perles brillantes dont la moindre ferait honneur à la couronne d’une reine.
Hans Christian Andersen, « La petite sirène »

COSETTE DANS LA NUIT (Sentiments et sensations.)
La pauvre enfant se trouva dans l’obscurité. Elle s’y enfonça. Seulement, comme une certaine émotion la gagnait, tout en marchant, elle agitait le plus qu’elle pouvait l’anse du seau. Cela faisait un bruit qui lui tenait compagnie. Tant qu’elle eut des maisons et même seulement des murs des deux côtés de son che-min, elle alla assez hardiment. De temps en temps, elle voyait le rayonnement d’une chandelle à travers la fente d’un volet, c’était de la lumière et de la vie, il y avait là des gens, cela la rassurait. Cependant, à mesure qu’elle avançait sa marche se ralentissait, comme machinalement. Quand elle eut passé l’angle de la dernière maison, Cosette s’arrêta…Elle posa le seau à terre, plongea sa main dans ses cheveux et se mit à se gratter lentement la tête, geste propre aux enfants terrifiés et indécis. Ce n’était plus
Montfermeil, c’étaient les champs. L’espace noir et désert était devant elle. Elle regarda avec désespoir cette obscurité où il n’y avait plus personne, où il y avait des bêtes, où il y avait peut-être des revenants. Elle regarda bien, et elle entendit les bêtes qui marchaient dans l’herbe et elle vit distinctement les revenants qui remuaient dans les arbres. Alors elle ressaisit le seau, la peur lui donnait de l’audace : « b a h , dit-elle, je lui dirai qu’il n’y avait plus d’eau ! » Et elle entra résolument dans Montfermeil.
Victor Hugo, « Les Misérables »


LES AVENTURES D'ARTHUR GORDON (La voie passive)
La maison de too-Witt était située au centre du village, et beaucoup plus grande et mieux construite que les autres de mêmes espèces. La toiture comprenait quatre peaux qui étaient reliées entre elle par des chevilles en bois. Le toit est soutenu par un arbre dont on a coupé le tronc à hauteur d'homme. Les peaux sont, quant à elle, accrochées au sol par des petits pieux taillés dans des os d'éléphants.
De Edgar POE

VENEZ BOIRE LE CAFE (Dictée préparée;la transformation passive)
La nappe blanche est étalée sur la longue table ovale de la salle à manger. Autour d'un sucrier, de quelques cuillères et d'une pelle à gâteaux, quatre tasses sont placées dans leurs soucoupes.
La dame a invité des amies de travail qu'elle a quittées voici plusieurs mois pour prendre sa retraite. Elles viendront entre treize et quatorze heures. La tarte que la dame a préparé sera prête et cuite à point pour leur arrivée. Dring!Elles sont là.


L'ORAGE (exp. du temps/P. simple&Imparfait)
Quand nous quittâmes l'auberge d'en haut, les nuages étaient au dessus de nous. Quelques sapins les dépassaient du fait. Mais pendant que nous descendions, nous entrions vraiment dans le vent,
Dans la grêle, dans la pluie. Tout près de nous un sapin roula foudroyé. Et au moment où nous dégringolions un petit chemin, nous vîmes un groupe de petites filles abrité dans un creux de rocher.
de A. Daudet « Les contes du Lundi »

VACANCES (Imparfait/Plus-que-parfait)
Mon père avait loué, sur la Méditerranée, une grande villa blanche, isolée, ravissante dont nous rêvions depuis les premières chaleurs de juin. Elle était construite sur une petite colline, et cachée de la route par un bois de sapins. Un sentier descendait à une plage minuscule bordée de rochers rouges où se balançait la mer. Je me souviens des heures éblouissantes que nous avions passé sur cette plage. Vers le crépuscule, et quand nous avions terminé de préparé le dîner, je me retrouvais sur la plage qui prenait peu à peu une teinte dorée.
De Françoise SAGAN (Bonjour tristesse)

RECETTE DE LA TARTE AUX POMMES (L'infinitif, L'impératif, Les déterminants définis & indéfinis)
Ingrédients : des pommes, de l’eau, du beurre, de la vanille pilée, du miel, de la crème fraîche, des morceaux de sucre, une cuillère en bois, un saladier en verre.
Couper les fruits pelés et les mettre à cuire avec le verre d’eau, le beurre et la vanille. Laisser réduire le tout en remuant à l’aide de la cuillère. Y mélanger le miel hors du feu, verser la totalité de la préparation dans le saladier et la mettre au frais. Monter la crème au fouet, y mêler le sucre, puis incorporer le mélange obtenu aux pommes froides.
Laisser la mousse au réfrigérateur au moins deux heures avant de la servir.
(d’après Éliane Comelade, La Pomme du Confluent et d’ailleurs)

LA BALEINE BLEUE (Le G. N+Le GV/ Le G. N/Le nom/L'adjectif)
Une baleine bleue adulte mesure souvent 29 mètres ; le cachalot peut atteindre 21 mètres. La baleine est longue comme 4 autobus. Son squelette pèse 22 tonnes, sa viande 50, sa graisse25. Le poids de la baleine entière atteint jusqu’à 130000 kilos. Si l’on pouvait hisser cet animal sur le plateau d’ une balance à sa mesure, il faudrait placer sur l’autre plateau, pour rétablir l’équilibre, 36 éléphants ou la population d’une ville de 2 500 personnes (d’après GeorgesBlond)


LE KON-TIKI (le passé simple/Imparfait)
Je prenais un petit bain rafraîchissant à l'avant du radeau, quand j'aperçu soudain un gros poisson brun d'environ trois mètres de long qui avançait vers moi dans l'eau cristalline. Je sautai vivement sur le radeau, pris un harpon et l'attendis de pied ferme.
Thor HAYERDAHL (Le Kon-Tiki)

LES CHASSEURS DE LA TRIBU. (le passé simple/L'imparfait)
Kocumbo et ses chiens avançaient dans les broussailles, son corps ruisselait de rosée.
Dès que la vraie brousse se fit sentir, avec ses bosquets et ses fourrés inextricable, les chiens prirent les devants: Tout-à-coup, le plus grand, le plus efflanqué s'arrêta. Il flaira une piste. A toute vitesse, il revint près de son maître, fit trois fois le tour de celui-ci sans cesser de remuer sa petite queue puis posa ses pattes sur les genoux du jeune homme, lui donna deux coups de langue sur la cuisse et courut retrouver la piste. Les deux autres le rejoignirent et ils se mirent tout les trois à inspecter la trace. Kocumbo reconnut le passage tout frais des sangliers.
Camara LAYE (L'enfant Noir)

SOIREES D'ETE (Le plus-que-parfait)

Par les belles soirées d'été, quand la nuit était tombée, nous sortions sur la terrasse. Souvent je prenais plaisir à suivre le vol des chauves-souris. Un soir, j'avais lancé en l'air une vieille casquette pour les attirer. L'une d'entre s'est assommé. Quand je la ramassai, la pauvre bête avait cessé de vivre.
Françoise SAGAN (Bonjour tristesse)

LES MATINS DE PARIS (La proposition incise, Le présent de l'indicatif)

Malgré le vent, malgré la brume, l’homme suit les quais, toujours les quais, pour aller à son bureau. Elle n’est pas gaie, ce matin, la rivière. Ce brouillard qui monte entre les vagues semble l’alourdir. Les toits sombres des rives, tous ces tuyaux de cheminée inégaux et
penchés qui se reflètent, se croisent et fument au milieu de l’eau font penser à je ne sais quelle lugubre usine qui, du fond de la Seine, enverrait à Paris toute sa fumée en b r o u i l l a r d . Alphonse Daudet, ( Contes du lundi. )

L'HOMME BISON(Le passé simple)

L’homme déguisé en bison gronda, gratta le sol avec fureur, pointa ses cornes dans notre direction. . .
Et ce fut la chasse, où se mêlèrent charges et esquives.
Je fus le premier à crier. Le bison que je réussis à toucher avec ma flèche s’écroula et resta inanimé.
J’en eus beaucoup de fierté. D’autres cris éclatèrent et d’autres bêtes tombèrent. . .
Tennessée. WILLIAMS (Sitting-Bull)

CONTRE LA PEINE DE MORT (ARGUMENTATIF)

Pour que tout soit clair, commençons par cette fameuse exemplarité qui est encore l’argument principal de ceux qui défendent la guillotine. il semble bien que nous soyons ici en pleine absurdité. (. . . )
Pour qu’il ne soit plus question d’exemplarité, il suffirait d’ailleurs d’examiner l’enquête conduite en 1962 par les Nations-Unies et dont Robert Boyer nous rappelle qu’elle touchait soixante pays et montrait clairement que la peine de mort n’exerce aucune influence sur la criminalité. Parlons à présent du mensonge. Et, pour commencer, de cette mort sans douleur que l’on promet aux condamnés. Les médecins qui ont assisté à des exécutions et examiné les corps des suppliciés sont formels : un homme décapité continue de vivre durant plusieurs minutes.
Autre mensonge : celui qui consiste à prétendre que le condamné a « payé sa dette à la société ». Comme si la mort d’un Eichmann vieilli pouvait, de quelque manière que ce soit, « payer » celle des millions d’enfants, de femmes et d’hommes innocents assassinés par les nazis fanatisés. Ce n’est ni avec une tête coupée, ni avec une somme d’argent que l’on redonne la vie à un mort ou que l’on console ceux qui pleurent.
Bernard Clavel, Écrit sur la neige, © éd. Stock.

Fanatisme

Le fanatisme est à la superstition ce que le transport est à la fièvre, ce que la rage est à la colère. Celui qui a des extases, des visions, qui prend des songes pour des réalités, et ses imaginations pour des prophéties, est un enthousiaste; celui qui soutient sa folie par le meurtre, est un fanatique. (. . . )
Le plus détestable exemple de fanatisme est celui des bourgeois de Paris qui coururent assassiner, égorger, jeter par les fenêtres, mettre en pièces la nuit de la Saint-Barthélemy , leurs concitoyens qui n’allaient point à la messe.
Il y a des fanatiques de sang froid : ce sont les juges qui condamnent à la mort ceux qui n’ont d’autre crime que de ne pas penser comme eux; et ces juges là sont d’autant plus coupables, d’autant plus dignes de l’exécration du genre humain que, n’étant pas dans un accès de fureur, comme les Clément, les Châtel, les Ravaillac, les Gérard, les Damiens , il semble qu’ils pourraient écouter la raison.
Lorsqu’une fois le fanatisme a gangrené un cerveau, la maladie est presque incurable. J’ai vu des convulsionnaires qui, en parlant des miracles de saint Pâris, s’échauffaient par degrés malgré eux: leurs yeux s’enflammaient, leurs membres tremblaient, la fureur défigurait leur visage, et ils auraient tué quiconque les eût contredits. (. . . )

Il n’y a d’autre remède à cette maladie épidémique que l’esprit philosophique, qui, répandu de proche en proche, adoucit enfin les mœurs des hommes, et qui prévient les accès du mal; car, dès que ce mal fait des progrès, il faut fuir, et attendre que l’air soit purifié. (. . . )
Les lois sont encore très impuissantes contre ces accès de rage; c’est comme si vous lisiez un arrêt du Conseil à un frénétique . Ces gens là sont persuadés que l’Esprit Saint qui les pénètre est au dessus des lois, que leur enthousiasme est la seule loi qu’ils doivent entendre.
Que répondre à un homme qui vous dit qu’il aime mieux obéir à Dieu qu’aux hommes, et qui, en conséquence, est sûr de mériter le ciel en vous égorgeant ?
(. . . ) Si notre sainte religion a été si souvent corrompue par cette fureur infernale, c’est à la folie des hommes qu’il faut s’en prendre.

Voltaire, Dictionnaire philosophique, 1764.

ARGUMENTER

Ésope, parlant devant le peuple de Samos pour un démagogue accusé d’un crime capital, leur conta qu’un renard traversant un fleuve avait été emporté dans un trou, d’où il ne pouvait sortir et où il souffrit longtemps de nombreuses tiques attachées à sa peau ; un hérisson passant par là fut pris de pitié en le voyant et lui demanda s’il devait lui ôter ses tiques, mais le renard ne le permit point ; l’autre lui demandant pourquoi, « celles-ci, répondit-il, sont maintenant gavées et ne me tirent qu’un peu de sang ; mais si tu me les ôtes, il m’en viendra d’autres, affamées, qui me boiront le reste de mon sang ». Eh bien ! vous de même, Samiens ; celui-là ne vous fera pas de mal ; car il s’est enrichi ; mais si vous le condamnez à mort, il en viendra d’autres, des pauvres, qui vous voleront et dépenseront les deniers publics.
Cité par Aristote, Rhétorique, Éd. Les Belles Lettres



L’esclavage (Argumenter)

L’esclavage proprement dit est l’établissement d’un droit qui rend un homme tellement propre à un autre homme qu’il est le maître absolu de sa vie et de ses biens. Il n’est pas bon par sa nature; il n’est utile ni au maître ni à l’esclave: à celui ci, parce qu’il ne peut rien faire par vertu; à celui là parce qu’il contracte, avec ses esclaves toutes sortes de mauvaises habitudes, qu’il s’accoutume insensiblement à manquer à toutes les vertus morales, qu’il devient fier, prompt, dur, colère, voluptueux, cruel.
Dans les pays despotiques, où l’on est déjà sous l’esclavage politique, l’esclavage civil est plus tolérable qu’ailleurs. Chacun y doit être assez content d’y avoir sa subsistance et la vie. Ainsi la condition de l’esclave n’y est guère plus à charge que la condition du sujet.
Mais, dans le gouvernement monarchique, où il est souverainement important de ne point abattre ou avilir la nature humaine, il ne faut point d’esclaves. Dans la démocratie, où tout le monde est égal, et dans l’aristocratie, où les lois doivent faire leurs efforts pour que tout le monde soit aussi égal que la nature de gouver¬nement peut le permettre, des esclaves sont contre l’esprit de la constitution: ils ne servent qu’à donner aux citoyens une puissance et un luxe qu’ils ne doivent point avoir.

Montesquieu, L’Esprit des Lois, LXV, chap. I

De l’esclavage des Nègres

Si j’avais à soutenir le droit que nous avons eu de rendre les nègres esclaves voici ce que je dirais:
Les peuples d’Europe ayant exterminé ceux de l’Amérique, ils ont dû mettre en esclavage ceux de l’Afrique, pour s’en servir à défricher tant de terres.
Le sucre serait trop cher, si l’on ne faisait travailler la plante qui le produit par les esclaves.
Ceux dont il s’agit sont noirs depuis les pieds jusqu’à la tête; et ils ont le nez si écrasé, qu’il est presque impossible de les plaindre.
On ne peut se mettre dans l’esprit que Dieu, qui est un être très sage, ait mis une âme, surtout une âme bonne, dans un corps tout noir.
On peut juger de la couleur de la peau par celle des cheveux, qui, chez les Égyptiens, les meilleurs philosophes du monde, était d’une si grande conséquence qu’ils faisaient mourir tous les hommes roux qui leur tombaient entre les mains.
Une preuve que les nègres n’ont pas le sens commun, c’est qu’ils font plus de cas d’un collier de verre que de l’or, qui, chez des nations policées , est d’un si grand conséquence.
Il est impossible que nous supposions que ces gens là soient des hommes, parce que, si nous les supposions des hommes, on commencerait à croire que nous ne sommes pas nous-mêmes chrétiens.
De petits esprits exagèrent trop l’injustice que l’on fait aux Africains. Car, si elle était telle qu’ils le disent, ne serait-il pas venu dans la tête des princes d’Europe, qui font entre eux tant de conventions inutiles, d’en faire une générale en faveur de la miséricorde et de la pitié?

Montesquieu, L’Esprit des Lois, XV 5

A L'AEROPORT

Jean-Paul et sa sœur Denise ont de la chance. Ils vont pouvoir visiter l'aéroport d'Orly près de Paris. Ils sont guidés dans cette visite par un ami de leur père qui est pilote d'avion.
-"Voyez ce point brillant, là-bas dans le ciel…. C'est l'avion de New-York. Dans quelques minutes, il aura atterri sur la piste cimentée et viendra s'arrêter en face de nous. Si vous étiez dans ce jet, vous pourriez suivre les délicats préparatifs de l'atterrissage, qui commencent bien avant l'arrivée au dessus de l'aéroport.

MOC 1-JSK 2
LES CONSTANTINOIS TRES FEBRILES

Tout avait bien commencé pour l'équipe du MOC qui entama le match avec l'intention de remporter la victoire. . Après seulement dix minutes, Chekrit rata l'ouverture du score.
Sans se décourager les Constantinois continuèrent sur leur lancée et leurs efforts furent récompensés à la 34eme minute par l'intermédiaire de Barou, qui d'un tir puissant, trompa la vigilance de Boughrara. La JSK réagit timidement sans arriver à égaliser. L'arbitre siffla la fin de la première mi-temps sur le score de 1 à 0.
En seconde mi-temps, les locaux firent preuve de manque de vigilance dont profita Moussouni et d'un tir croisé inscrivit le but égalisateur a la 65e minute. Après cela, le jeu se stabilisa au milieu du terrain. A la dernière minute, sur un coup franc sifflé en faveur de la JSK, Bendahmane porta le score à 2 buts à 1. C'est la grande joie chez les visiteurs et l'abattement dans le camp du MOC.
D. CHENI Le Matin du Vend 16. Sam 17 février 2001

L'EPAULARD

L'épaulard est probablement le mammifère marin le plus répandu au monde. On le retrouve dans tous les océans, sauf au cœur de l'océan Arctique.
L'épaulard peut résider en permanence à un certain endroit, mais la plupart du temps il est en migration, en quête de nourriture. Il se mêle à un groupe de 5 à 50 épaulards et, en bande, ces animaux marins chassent en s'attaquant à leur proie comme le font les loups.
Sa vitesse est généralement de 3 à 6 nœuds, mais elle peut atteindre 25 noeuds lorsqu'il chasse. L'épaulard, qui est la créature la plus intelligente vivant dans l'océan, vit rarement vieux en captivité. En milieu naturel, il peut atteindre 100 ans.
On a beaucoup parlé de Willy, l'épaulard vedette du film Mon ami Willy, film écologique très apprécié de tous. Jessie, un jeune garçon abandonné, devient l'ami et l'entraîneur de Willy gardé en captivité dans l'aquarium d'un parc aquatique. Triste au début, ce film finit bien lorsque Willy est libéré par Jessie malgré les difficultés.
Les épaulards aiment la compagnie de leurs semblables. Ils aiment voyager, chasser et s'amuser ensemble, en bande, unis pour la vie dans les océans. Cependant, de merveilleux animaux marins ont déjà disparu et d'autres sont en voie d'extinction à cause de la pollution des eaux. Les recherches démontrent les effets dévastateurs des polluants sur la vie marine.
Encyclopédie « Encarta »

LE SAVON

Le savon est un produit de la vie courante tellement familier qu’il nous glisse entre les mains et parfois même disparaît complètement dans l’eau. Comment l’approcher, de façon scientifique ou de façon poétique ? Pour le chimiste, le savon appartient à la famille des détergents. C’est, pour parler clairement, un produit de nettoyage. Le savon permet ainsi d’éliminer les saletés ou les impuretés d’un corps solide. Le savon, nous dit le chimiste, est obtenu par l’action d’une base sur un corps gras. Les chimistes fabriquent plusieurs types de détergents : ceux destinés à l’usage domestique et ceux utilisés en milieu industriel. Mais
ce petit cube ou parallélépipède blanc ou de couleur, qui nous permet de nous laver les mains, peut faire l’objet d’une recherche littéraire des plus sérieuses. Le poète Francis Ponge l’a montré dans le livre intitulé
L e S a v o n, publié par l’éditeur Gallimard en 1967.


UN DUR APPRENTISSAGE

Omar que vous connaissez déjà, a trouvé du travail dans un atelier de tissage. Le soleil se levait à peine, déjà Omar apportait la laine qu’il avait achetée la veille.
Il commençait tout de suite le travail puis il allait aux commissions pour les ouvriers. Il courait ensuite jusqu’à Bâb Zir pour y prendre un couffin et des consignes. Il avait la charge de faire le marché du patron. La femme de celui-ci n’était jamais contente. Omar écoutait sans répondre les sévères reproches de la dame.
Il y avait dans l’atelier un vieil ouvrier que l’âge rendait, certains jours, incapable de travailler. Pour l’aider, Omar embobinait les fils fins car les faibles yeux du vieillard n’arrivaient pas à distinguer. Tout le monde lui donnait des ordres ; mais personne n’était satisfait de son travail.
Les jours passaient, Omar grandissait. Il n’était pas maladroit. Il a appris un métier difficile.

MOHAMMED DIB « Le métier à tisser »

Léonard de Vinci, le visionnaire!
Le célèbre peintre Léonard de Vinci est né le 15 avril 1452 à Anchiano, village voisin de Vinci, près de Florence. Ses œuvres sont reconnues mondialement. Il est décédé le 2 mai 1519, en France. Ce que beaucoup de gens ignorent, c'est la grande passion de Léonard de Vinci pour la science, les machines et les objets de guerre. On semble oublier qu'il est le premier à avoir pensé à la création de certaines machines. Léonard de Vinci a imaginé bien des machines avant qu'il soit possible de les fabriquer. Son plus grand problème reposait à cette époque sur la source d'énergie mécanique insuffisante pour faire fonctionner les machines qu'il imaginait. Ses idées n'ont donc pas dépassé les étapes du projet et du plan.
Léonard de Vinci était un grand visionnaire et un rêveur. Les gens de son temps n'étaient pas en mesure de l'apprécier, mais, nous, nous pouvons reconnaître le génie et le talent créateur de cet homme. De nos jours, cependant, nous nous servons de plusieurs machines qu'avait imaginées Léonard de Vinci, mais que d'autres plus tard ont pu développer. À l'époque, on disait de lui qu'il pouvait regarder le même objet, tantôt comme un peintre et tantôt comme un naturaliste, tantôt comme un physicien et tantôt comme un poète




L'analphabétisme mondial

On estime que, parmi les 150 millions de personnes qui apprennent à lire et à écrire chaque année dans le monde, seul un tiers de ces personnes ont une chance de devenir des lecteurs réguliers; les autres retomberont dans un analphabétisme fonctionnel ou deviendront de médiocres lecteurs.
Cet abandon du langage écrit est un problème dans les pays industrialisés qui sont à l'aube de ce qu'on a déjà appelé «l'ère postérieure au livre», et pour qui les moyens de communication audiovisuelle sont une excuse ou peut-être la cause.
Cependant, pour les pays en voie de développement, qui forment la majorité de la population mondiale, et la quasi-totalité des analphabètes (ils représentent 801 millions sur un total de 825 millions d'analphabètes dans le monde), c'est non seulement un problème économique, mais aussi un défi pour le processus de développement auquel ils doivent faire face en priorité.



L’ORDINATEUR
Le terme « ordinateur » est employé depuis 1945. Il a remplacé celui de calculatrice. L’ordinateur est tout simplement une machine électronique Le premier ordinateur servait à calculer : IL pouvait effectuer rapidement et sans erreurs beaucoup d’opérations.
Aujourd’hui , la plupart des ordinateurs que nous voyons dans les écoles , chez le pharmacien , chez le médecin , dans les banques ou dans les usines sont des micro-ordinateurs qui sont capables de tracer des droites , des cercles de dessiner, de comparer ………. .
Le plus souvent, ils sont équipés d’un écran et d’un clavier qui ressemble à celui d’une machine à écrire.
Le micro-ordinateur est constitué des éléments suivants :
1 /-Une unité centrale.
2/- Un écran.
3/- Un clavier.
* Une imprimante (facultative).
4/- (et) une souri
D’après : L’univers des ordinateur H. Sanrers

La fable des porcs-épics

Par une froide journée d’hiver, un troupeau de porcs-épics s’était mis en groupe serré pour se protéger de la gelée par leur propre chaleur. Mais immédiatement, ils ressentirent les atteintes de leurs piquants, ce qui les fit s’éloigner les uns des autres. Quand le besoin de se réchauffer se faisait sentir, ils se rapprochaient de nouveau. Mais le même inconvénient se reproduisait. Les pauvres rongeurs étaient ballottés entre les deux souffrances jusqu’à ce qu’ils aient trouvé une distance moyenne qui rendit leur situation supportable.
Ainsi, le besoin de vivre ensemble pousse les hommes les uns vers les autres ; mais leurs insupportables défauts les dispersent de nouveau. La distance moyenne qu’ils finissent par découvrir et à laquelle la vie en commun devient possible, c’est la politesse et les bonnes manières.
Texte adapté d’Arthur Schopenhauer

LA PETITE BÊTE
-Il y a une bête sur ma table ! crie Caroline.
Tout le monde veut voir la bête. C'est une toute petite bête, elle est rouge avec des points noirs.
- C'est une coccinelle, dit Nicolas, je le sais, j'en ai déjà vu.
La coccinelle grimpe sur le crayon de Caroline.
La coccinelle sort ses ailes et elle s'envole.
Où est-elle ?
-Je ne sais pas.
Tout le monde cherche la coccinelle.
- Je la vois! crie Nicolas. Elle est sur la vitre, tout en haut!
La maîtresse grimpe sur l'escabeau, elle tend son doigt à la coccinelle. La coccinelle grimpe sur le bout du doigt, la maîtresse sort la main par la fenêtre. sort ses ailes et s'envole



Saint Barthélemy : le 23 août 1572, les catholiques massacrèrent, rien qu’à Paris, plus de trois mille protestants.
Tous ont en commun d’avoir assassiné ou tenté d’assassiner un roi.

Importance
Civilisées

Pierre DROUIN, reprenant une citation d Antoine LION, définit ainsi l illettrisme :
« Terme qui sert à caractériser tous ceux qui ne savent pas faire du sens avec l écrit, soit pour en produire par écriture, soit pour en recevoir par lecture. »
par Amel111
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